Ainsi vient d’en décider le Conseil d’Etat à l’encontre de la solution restrictive retenue par la doctrine administrative (Arrêt du 13 juillet 2011, n° 311844, SA G. H. Mumm et Cie).
Source : Article paru dans “Option Finance” 28 novembre 2011
La taxe sur les holdings figurant dans le PLF 2026 est difficilement compatible avec les exigences constitutionnelles et avec celles du droit de l’UE, pointent Philippe Bruneau, président du Cercle des fiscalistes, Jean-Yves Mercier et Jérôme Turot, vice-présidents de ce think-tank.
Le projet de loi de finances 2025 propose une taxe de 8% sur les rachats d’actions des grandes entreprises (chiffre d’affaires supérieur à 1 Md€), justifiée par l’augmentation des réductions de capital et des rachats d’actions ces dernières années. Cette taxe, perçue sur l’extinction d’une dette envers les actionnaires, soulève des questions de compatibilité avec la liberté d’entreprendre et pourrait peser sur les actionnaires non concernés par les rachats.
Depuis 1983, L’Etat favorise l’activité inventive V des entreprises en leur accordant un crédit d’impôt…